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2019 - Biosémantique du cancer

Résumé. Exposé introductif. Rencontres Abellio 2019 Toulouse 14 septembre 2019

Biosémantique du cancer

Ampleur séparatrice et intensité intégratrice : biosémantique du cancer.
Quanta et qualia, existence et essence, ontologie et/ou oncologie.

La Pratique en gestion du stress chez les porteurs de cancer montre des problèmes psychologiques qui traduisent des problèmes ontologiques sous-jacents.

Selon Abellio (Structure Absolue p 206); L’avoir = connexion linéaire, relation de localité

Être = participation sphérique, une relation de globalité

Selon Lavelle, (Présence globale p 79), L’être est la totalité des possibles

Le cancer est réaction de compensation de l’avoir local qui ne peut se connecter avec l’être non local

Le cancer est le mécanisme d’échappement de l’avoir qui ne peut pas participer à l’être.

Abellio a donné deux clés universelles; ampleur séparatrice et intensité intégratrice.

La résonance biosémantique vasculaire montre les équivalents vibratoires et opératoires de ces deux concepts que l’on retrouve à tous les niveaux de la Structure Universelle sphérique (SUS)

Ampleur séparatrice ≈ centrifuge ≈ antagonisme ≈ explosion

≈ local ≈ partie ≈ numérique ≈ différentiation ≈ diabole

Intensité intégratrice≈ centripète ≈ complémentarité ≈ implosion ≈ non local ≈ Le Tout ≈ analogique ≈ intégration ≈ symbole

Défaut de non local centripète → compensation par local centrifuge = cancer

La SUS est un invariant à tous les niveaux de réalité comme une résonance fractale où le même motif est autosimilaire dans tous les grossissements. La résonance biosémantique vasculaire illustre la validité de cette assertion et montre que le corps humain est un oscillateur harmonique entre les plans quantique, subquantique et métaquantique. Une résonance est une reconnaissance.

Figure 1

Cette figure résume la réalité biophysique de l’Être avec ses différents niveaux. Le centre est le référentiel non local qui permet de situer l’origine d’un problème

Il est caractérisé par la dualité dynamique centripète-centrifuge en tant que polarisation non local-local qui imprègne les plans subquantique et quantique de la SUS. Le centre ne peut être visualisé géométriquement. Le symbole de la mandorle est l’équivalent vibratoire du Un ou Logos; le centre d’un cercle correspond à la périphérie de l’autre et le centre de l’autre correspond à la périphérie du premier.

Figure 1 bis

Cette figure de la mandorle est symbole de l’Un ou Logos. Le Un est l’expression du centre métaquantique qui est Non Aliud

Au niveau de l’axe sémantique vertical la polarisation locale centrifuge- non locale centripète se traduit sémantiquement par la dualité analogique-numérique et physiquement par le couple espace-temps. C’est l’origine de la latéralité biologique. Le centrifuge devient dextrogyre, le centripète devient lévogyre.

Les pôles de l’axe vertical expriment chacun un aspect de cette dualité.

La cathode exprime l’aspect émetteur de l’antagonisme séparateur qui se traduit par un rayonnement ou trou blanc matière. Elle est acide, elle brûle. So excès constitue l’inflammation, l’intoxication, les métastases.

L’anode exprime l’intensité intégratrice de la matière ou apoptose ou apocalypse qui engendre un rayonnement d’antimatière constituant le champ péricorporel. Elle est alcaline. Elle transforme la matière en champ péricorporel antimatière.

Au niveau quantique équatorial le couple centripète-centrifuge fondamental se traduit par le couple matière-antimatière et par le dualité ondulatoire-corpusculaire.

Le plan quantique est la projection des plans subquantique axe vertical espace-temps et centre métaquantique local-non local.

Un problème quantique traduit une perturbation subquantique ou métaquantique et ne peut se corriger que par une action à ces niveaux

 

Figure 2

Cette figure illustre les zones de résonance du plan quantique. C’est l’observation princeps de la résonance biosémantique vasculaire. L’équivalence vibratoire entre les zones de résonance pigmentaire et les zones de résonance idéogrammique a permis de découvrir plus tard l’équivalence entre les zones de résonance pigmentaire et les interactions physiques matière et antimatière.

Le plan quantique équatorial est ontique. L’axe vertical sémantique est ontologique.

Au niveau quantique essence ≈ non local ou centripète. Existence local ou centrifuge.

Le cancer apparaît quand l’existence ou l’avoir est privé de l’être.

Ceci a permis de comprendre que le corps humain n’est pas seulement un radar matière-antimatière, mais un oscillateur harmonique entre tous les plans de la SUS.

Le plan quantique est la projection des plans subquantique et métaquantique. Un problème au niveau quantique ontique est l’expression d’un manque de communication avec l’axe vertical ontologique.

Temps local et non local résonnent avec énergie cinétique orthosympathique. Espace local et non local résonnent avec énergie potentielle parasympathique.

La science ne peut mesurer que le local centrifuge. Le corps humain résonne en plus avec le non local centripète.

Défaut de non local centripète → compensation par local centrifuge = cancer

 

Équivalences vibratoires de l’oscillateur harmonique global au niveau équatorial quantique

Le plan équatorial est autosimilaire à tous les niveaux d’organisation

Une résonance au niveau atomique résonne aux niveaux moléculaires, cellulaire et organismique

Figure 3

Le codage couleur des zones de résonance montre qu’une résonance à un niveau se répercute à tous les niveaux. Les pigments sont des catalyseurs. Un catalyseur est l’équivalent vibratoire temporel d’hologramme spatial. Ceci explique que la résonance biosémantique soit une résonance hologrammique puis une résonnance holonique comme une bande de Möbius quand local devient non local.

Le local est centrifuge mesurable correspond à existence. Le Non local est centripète, non mesurable par la science, mais détectable par la résonance biosémantique vasculaire.

La santé exige la coordination de tous les plans de la SUS.

Un cancer traduit une déficience de l’essence non locale et une hypertrophie compensatoire de l’existence locale.

L’endoderme ou espace local est le lieu des mitoses. Le défaut du non local entraîne une hyperactivité mitotique ou cancer.

Figure 4

L’espace local est équivalent vibratoire de dynamisme élémentaire eau ou cancer zodiacal.

L’accès refusé au non local entraîne un excès compensatoire du local. L’excès de l’espace endodermique se traduit par une activité mitotique non contrôlée ou cancer.

Dynamisme eau = multiplication = occupation de l’espace local

Polymérisation = multiplication des molécules à l’identique

Mitoses = multiplication des cellules à l‘identique

Œdème ≈ occupation de l’espace local par l’eau ≈ tuméfaction

L’expérience des rats de Laborit montre que le mouvement, fuite ou lutte, métabolise le stimulus stressant. Le manque de possibilité de mouvement donne le stress d’inhibition qui donne contracture, acidose et cancérisation. Le mouvement est continuité. Le non accès à la continuité entraîne l’entropie homogénéisante du cancer.

Inhibition de l’action ≈ Pas de mouvement possible, fuite ou lutte. On est coincé dans espace local. Le cancer est un mécanisme d’échappement. L’espace local prend des propriétés de l’espace non local. Hypertrophie de l’espace local avec son dynamisme eau polymérisant, hydrogène, proton, protéique qui se traduit par exagération des mitoses.

Le problème au niveau quantique ne peut se régler que par action au niveau subquantique Il faut donc activer l’anode qui provoque l’apoptose des cellules cancéreuses pour éviter la nécrose.

 

Oscillateur harmonique au niveau des pôles anode et cathode

Les pôles de l’axe vertical résonnent également du niveau physique fondamental, au niveau atomique, moléculaire, cellulaire et organismique

On retrouve les fonctions cathode et anode à tous ces niveaux

La cathode est explosion amplificatrice de rayonnement matière. L’anode est l’implosion intensificatrice de matière.

L’intensification ultime de la matière est la mort cellulaire programmée ou apoptose qui est aussi apocalypse.

C’est le refus de la mort qui tue. Si l’anode est déficiente la cathode explose, ce qui se traduit cliniquement par inflammation, acidose, intoxication, métastases

L’activation de l’anode basique ralentit l’activité acide de la cathode.

 

Résumé

L’équivalence vibratoire biosémantique entre hologramme, oscillateur harmonique et catalyse permet de mieux comprendre la genèse du cancer.

La santé ou coordination est communication entre local et non local. L’autonomie de chaque maillon de la chaînette entraîne la cohésion de l’ensemble.

La guérison du cancer se fait par l’intersubjectivité, équivalent vibratoire de Holon qui est une inversion intensification de l’hologramme. L’hologramme est une inversion intensificatrice sphérique de la Bande de Moebius circulaire où l’extérieur local ne fait plus qu’un avec l’intérieur non local. On a alors réciprocité entre la partie et le tout. Hologramme est équivalent vibratoire de interobjectivité. La guérison se fait par passage de l’interobjectivité à l’intersubjectivité.