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2021 - Biosémantique de l’Immunité

 

Résumé

L’immunnité est une équation complexe qui ne peut être résolue par la science biomédicale actuelle qui dépend encore de la logique classique de non contradiction.

La querelle de Pasteur et Béchamp avait bien posé le probléme du terrain et du germe.

L’introduction de la logique de contradiction par la physique quantique révèle que la réalité n’est corpusculaire ou ondulatoire que selon l’angle d’obseration de l’observateur. La réalité est à la fois corpusculaire et ondulatoire.

La science biomédicle officielle a privilégié la logique de non contradiction et le paradigme mécaniste. Elle impose le OU au lieu du ET. Elle se prive ainsi d’une compréhension complète du phénomène.

On expose rapidement les données experimentales de la spectroscopie par résonance biosémantique vasculaire, son intérêt pour la compréhension de l’immunité dans ses aspects biochimiques et physiologiques et son intérêt pour la discussion des approches  officielles.

Une introduction de la logique sphérique de double contradiction croisée est nécessaire pour comprendre que l’immunité n’est pas qu’un phénomène linéaire du niveau quantique mais une intégration de tous les plans par le centre, une intégration du centrifuge local par le centripète non local.

Une lecture des communications précédentes facilitera grandement la compréhension de ce texte qui necessite de se familiariser avec les concepts et le langage de ces données expérimentales.(références 2, 3 et 4). Une étude attentive des schémas et tableaux est nécessaire pour en extraire la substantifique moelle.

 

Introduction

Les querelles scientifiques ne peuvent être résolues qu’en changeant de paradigme ou l’ensemble de présupposés basés sur la logique de non contradiction Le paradoxe d’aujourd’hui est le préjugé de demain[1].

La vielle querelle entre Pasteur et Béchamp est encore d’actualité malgré la physique quantique qui a introduit la logique de contradiction. La science dépend de l’angle de vision de l’observateur opérateur (figure 1). La réalité est à la fois corpusculaire et ondulatoire, il n’y a pas de corpuscule sans onde.

Figure 1

On ne peut comprendre l’immunité qu’en tenant compte des 3 dualités fondamentales de la Structure Universelle Sphérique détectée en spectrocopie par résonance biosémantique vasculaire (tableau 1).

Ce modèle de structure sphérique nous fait passer du linéaire au non linéaire, de la logique quantique de contradiction  à la logique de double contradiction croisée . Les logiques contrôlent les paradigmes ou ensemble de dogmes admis par une communauté scientifique.

La science actuelle ne peut mesurer que ce qui est centrifuge, quantifiable, local.Elle ne peut détecter ce qui est centripète, non local, qualifiable.

Cette structure sphérique universelle, corroborée par la résonance biosémantique vasculaire, permet de détecter 3 niveaux de réalité (tableau 1).

Tableau 1

Dans un modèle sphèrique, le réferentiel le plus englobant par définition, est le centre permettant une dialectique centripète-centrifuge s’appliquant à tous les niveaux.

Le centripète non local est intensité intégratrice ou coincidence des opposés. Le centrifuge est ampleur séparatrice ou conjonction des opposés.

L’immunité est l’intégration du corpusculaire dans et par l’ondulatoire, du numérique par l’analogique, du local par le non local, du centrifuge par le centripète. C’est l’intégration de l’existence centrifuge par l’essence centripète.

Une approche corpusculaire locale centrifuge ne peut qu’activer la dispersion entropique disruptive. Le bidimensionnel ne peut régler le problème tridimensionnel.

L’excès du bionumérique crée des chimères qui ne peuvent être intégrées et qui comme Icare voulant s’echapper du labyrinthe numérique, en se faisant des ailes chimèriques, ne peuvent que retomber dans l’entropie disruptive indifferenciée.

 

Intérêt de la résonance biosémantique vasculaire

Aspects techniques. Données expérimentales.

Quel est l’interet de la spectrocopie par résonance biosémantique vasculaire dans la compréhension de l’immunité?

La résonance biosémantique vasculaire révèle que le corps est :

1/un radar,

2/un numériseur (scanner),

3/un modem,

4/un ordinateur.

Cette méthode biophysique indique que le corps humain résonne à tous les niveaux de réalité quantique, subquantique et métaquantique.

Comme le vivant est un conjugué de matière et d’antimatière, il peut donc détecter des phénomènes inacessibles à la technologie scientifique actuelle (figure 2).

C’est un radar ou interféromètre entre son aspect emetteur et son aspect récepteur. On ne peut détecter que ce qu’on est capable d’émettre (figure 2).

Figure 2

Les zones de résonance pigmentaires sont invisibles. Elles sont détectées par le signal vasculaire amplificateur des vibrations cellulaires déclenchées par la résonnance entre pigments des filtres et les pigments cellulaires. Les chiffres 55, 16, 70 et 75 sont les numéros d’imventaire des filtres de gélatine pigmentée et permettent le codage couleur des zones réactives invisibles mais que le radar corporel détecte. On y voit l’équivalence vibratoire entre les réactions biochimiques pigmentaires et les interactions physiques fondamentales. L’équivalence vibratoire avec les idéogrammes hébraiques a permis de savoir que le radar corporel est aussi un numériseur qui détecte le sens des informations écrites, même sanscrite et chinoise, qui sont des code-barres (figure 3).

Figure 3

La résonance biosémantique vasculaire révèle que le corps est un radar au niveau quantique énergétique et un modem au niveau subquantique informatique. La superposition du spectrogramme biosémantique et du grand tableau des hexagrammes de Fou Hi  montre leur communauté fonctionnelle.

Les traits discontinus Yin représentent le numérique centrifuge local. Les traits continus Yang représentent l’analogique centipète Non local. Le carré central résonne matière discontinue et le cercle résonne antimatière continue (figure 3).

Figure 4

L’approche sphérique permet de comprendre le dynamisme centrifuge/centripète et la présence de pôles cathode émetteur centrifuge  et anode récepteur centripète. La fonction anode intensifie la matière et la transforme en antimatière. Elle assure donc la présence du champ péricorporel antimatière qui a une fonction antigravité.

Cette figure résume l’aspect matière-antimatière du plan équatorial quantique qui est la projection du plan subquantique espace-temps et du plan métaquantique local centrifuge-non local centripète (tableau 1).

Le paradigme scientifique prédominant ne voit que l’aspect corpusculaire du plan quantique et ignore les plan subquantique et métaquantique, alors que l’immunité exige un centrage de tous les plans (tableau 1 et figure 4).

La structure dynamique sphérique donne le point central comme référentiel  avec des processus centripètes de type Non Local et des processus centrifuges de type Local.

L’immunité est l’intégration de tous les plans par le centre de la sphère.

 

Actualité du problème

Figure 5

Cette figure permet de comprendre les errements de l’approche officelle unidimensionnelle de l’immunité bien illustrée par la querelle historique de Pasteur et Béchamp[2]. Pasteur illustre l’approche corpusculaire avec prédominance du germe. Béchamp représente l’approche ondulatoire avec la prédominance du terrain.

Selon le paradigme encore dominant on ne voit que l’aspect corpusculaire discontinu analytique local et on ignore l’aspect ondulatoire continu catalytique du champ Non local. On voit la molécule, le virus et on ignore le terrain. On n’a qu’une moitié de l’équation. Les arbres empêchent de voir la forêt.

La résonance biosémantique découvre l’aspect ondulatoire de l’équation. L’immunité est l’intégration du corpusculaire centrifuge par l’ondulatoire centripète au niveau énergétique quantique. C’est aussi l’intégration du numérique centrifuge par l’analogique centripète au niveau du modem informatique subquantique. L’information contrôle l’énergétique. Le centipète non local intègre le centrifuge local.

Atteindre l’immunité qui est harmonie intercellulaire entre le corpusculaire et l’ondulatoire, entre le corps matière et le champ antimatière, entre l’analogique et le numérique, est impossible par l’approche corpusculaire de la vaccination.

Le modèle sphérique intègre tous les niveaux de réalité. Les pôles de l’axe vertical de la sphère constituent l’anode et la cathode (tableau 2).

 

Conséquences biochimiques

L’équilibre acido-basique  assure l’homéostasie ou équilibre entre la fonctionne anode et la fonction cathode.

Tableau 2

La spectroscopie par résonance biosémantique vasculaire permet de détecter les zones de résonance du système nerveux autonome.

Le système nerveux orthosympathique implémente la fonction cathode acide. Le parasympathique incarne la fonction anode basique de mise à la masse qui assure la solidité du terrain.

Les maladies autoimmunes sont dues à une déficience de la fonction anode.

 

Aspects physiologiques

La résonance biosémantique vasculaire donne un spectrogramme de l’aspect ondulatoire  de l’équation. Elle détecte le champ, c’est-à- dire le terrain, alors que la technologie biomédicale ne détecte que l’aspect corpusculaire , moléculaire, cellulaire, le germe.

Elle détecte les zones de résonance du système nerveux autonome qui a un rôle promordial dans l’immunité.

Figure 5

OS = orthosympathique = zones de résonance 75 adrénaline et 16 sérotonine

PS= parasympathique zones de résonance 55 dopamine et 70 acétylcholine

L’immunité intensifie le terrain ou axe parasympathique ascendant  anabolique qui supporte le corps alors que l’axe orthosympathique catabolique est descendant. Le parasympathique assure la fonction de mise à la masse  qui permet de se tenir debout devant une agression orthosympathique.

Figure 6

 

 

Le plan équatorial quantique constitue la turbine énergétique avec un axe orthosympathique et un axe parasympathique. Le plan équatorial est la projection de l’axe vertical subquantique espace-temps et du centre métaquantique Local-Non local (figure 7).

Figure 7

Le plan quantique existentiel exprime les autres plans non détectables par  technologie actuelle.

Le cœur illustre ce modèle de turbine énergétique quantique  tournant autour d’axe vertical.

Figure 8

Le codage couleur indique qu’une position commune suggère une fonction commune. Cette donnée permet de comprendre la signalisation intercellulaire ondulatoire dans le corps en tant qu’oscillateur harmonique. Un oscillateur harmonique est équivalent vibratoire de Manifold, connecteur catalytique et distributeur analytique.(le terme technique en mathématique est Variété). C’est aussi équivalent à hologramme ou la partie contient l’information du tout.

Figure 9

Oreilletes = espace de remplissage diastolique.

Ventricules = zones de chasse systolique.

Le parasympathique dilate. L’orthosympathique contracte.

Le cœur illustre cette dualité énergie cinétique orthosympathique et énergie potentielle parasympathique que l’on retrouve au niveau cellulaire.

Turbine énergétique quantique = dualité ondulatoire corpusculaire.

Modem informatique subquantique = dualité analogique numérique

 

Applications à l’immunité

Figure 10

 

L’hypertonie orthosympathique intensifie l’énergie cinétique aux dépens de l’énergie potentielle.

L’hypertonie parasympathique intensifie l’énergie potentielle aux dépens de l’énergie cinétique.

Figure 11

Cette figure montre l’équivalence entre l’axe orthosympathique et l’énergie cinétique (temps local et temps non local). La vaccination provoque une intensification de l’axe cinétique orthosympathique qui absorbe toute l’énergie potentielle parasympathique du terrain.

Figure 12

L’ hypertonie parasympathique assure l’immunité en renforçant le terrain qui ne sera plus vulnérable.

Figure 13

Le parasympathique est représenté par les lymphocytes et les thrombocytes ou plaquettes.

L’orthosympathique est représenté par les érythrocytes (globules rouges) et les myélocytes.

Plasmocytes sont équivalents vibratoires des lymphocytes qui appartiennent au dynamisme parasympathique : eau, hydrogène, proton, protéine qui forment les anticorps. Les thrombocytes ou plaquettes assurent l’intégrité des parois sanguines.

L’hypertonie orthosympathique inflammatoire vaccinale provoque des perturbations  au niveau des thrombocytes parasympathiques. Leurs déficiences provoquent les hémorragies et leurs excès provoquent les thomboses.

 

Immunité et organes des sens

Les 4 zones de résonance de la turbine énergétique correspondent également

aux organes des sens.

L’odorat correspond à l’espace non local centripète. C’est l’espace vital, espace des germes, espace de l’espéce. L’anosmie traduit une atteinte du parasympathique, une déficience de l’immunité. Le terrain est compromis. Le saumon ne retrouve pas sa rivière dans laquelle il peut frayer sans être effrayé.

Figure 14

Agueusie traduit une atteinte du temps non local. Nucléaire fort , noradrénaline, myocarde  sont perturbés (figure 15).

Figure 15

Les mesures sanitaires coercitives du masque facial perturbent le goût et l’odorat et diminuent l’immunité. La distanciation physique aggrave la perturbation du  système vagal antérieur d’engagement social provoqué par le port du masque facial (figure 16). L’immunité collective ne peut être qu’affaiblie par ces mesures.

Figure 16

 

Conclusion

La spectroscopie par résonance biosémantique vasculaire révèle que les vaccins actuels inhibent l’hypertonie parasympathique centripète devant une information virale centrifuge. Ils provoquent une confusion du corpusculaire qui s’identifie à l’ondulatoire, une confusion du numérique qui s’identifie à l’analogique. Ces perturbations informatiques constituent un tableau de momification.

Elles inhibent le passage de l’interobjectivité circulaire hologrammique à l’intersubjectivité holonique sphérique, ce qui constitue le syndrome d’Icare coincé dans son labyrinthe corpusculaire ou numérique[3] [4].

L’immunité est un attribut de l’intersubjectivité qui intégre tous les niveaux de réalité.

 

Mes remerciements à Benoît Hurtel pour une lecture critique du texte et des suggestions pédagogiques.

 

[1] Marcel Proust cité par Costa de Beauregard, O. (1988). Le temps déployé. L'esprit et la matière.

[2] Ratte, J. (2020). Biosémantique de pandémie. Recherches, Essais, Réflexions. Les rencontres Raymond Abellio. Repéré à https://rencontres-abellio.net/Recherche.

[3] Ratte, J. (2020, 25 septembre). Du circulaire au sphérique ou de la science à la gnose.Communication présentée aux XVIIèmes Rencontres Raymond Abellio, Toulouse. Repéré à https://rencontres-abellio.net/Archive/2020

[4] Ratte, J. (2021). Icare, Psychè et Gnosis. Communication présentée aux XVIIIèmes Rencontres Raymond Abellio, Porto, Portugal. Repéré à https://rencontres-abellio.net/Actuel