Biosémantique du sommeil
Une lecture préalable des présentations précédentes de 2019 sur la genèse du champ péricorporel par le couple anode/cathode et les perturbations du champ péricorporel faciliterait grandement la compréhension de ce texte. (1)
Résumé
L’exploration du champ informatif péricorporel par spectroscopie de résonance biosémantique vasculaire permet de mieux comprendre le phénomène du sommeil.
La résonance biosémantique vasculaire détecte l’aspect ondulatoire du champ matière Énergie et du champ antimatière Information. La technologie scientifique actuelle ne peut mesurer que les champs centrifuges électromagnétique et nucléaire faible .L’électromagnétique est équivalent vibratoire de temps local et le nucléaire faible est équivalent vibratoire de espace local. La science ne mesure que ce qui est local. Le corps humain qui est un complexe de matière conjuguée à de l’antimatière peut détecter le local centrifuge et le non local centripète. (figure 1)
Figure 1. Résonance fractale : Équivalences vibratoires entre les différents niveaux de complexité. Le codage couleur montre qu’une position identique indique une fonction commune du physique le plus fondamental au psychologique le plus subtil. Une résonance à un niveau résonne à tous les niveaux de complexité de l’être humain, du quantique matière-antimatière au subquantique espace-temps au métaquantique local-non local.
Le champ informatif péricorporel est double avec une zone matière et une zone antimatière. Une perturbation au niveau de l’une s’accompagne d’une perturbation simultanée au niveau de l’autre. (Figure 2)
Figure 2 : Le vivant est un complexe de matière conjuguée à l’antimatière. Le champ matière correspond à l’égo. Le champ antimatière correspond à l’alter égo.
Les correspondances entre le radar matière et le radar antimatière permettent de comprendre ce qui se passe au niveau des neurones actifs au point de vue électromagnétique et des cellules gliales actives au niveau gravitationnel.
Variations du spectrogramme antimatière
Figure 3 : Inversion physiologique entre la tête et le corps au cours de l’éveil. Cette inversion est parallèle à l’inversion neurologique de la latéralité.
Au cours du sommeil cette inversion tête/corps caractéristique de l’état d’éveil est inversée. On a donc une inversion de l’inversion dans le sommeil. (Figure 4)
Figure 4
Durant l’éveil, au niveau de la tête, la couche vitale ou pranamaya qui est dans le corps en position centrale au contact du corps physique matière se trouve en périphérie. La couche causale ou anandamaya qui est en périphérie au niveau du corps se retrouve en position centrale au niveau de la tête.
Au cours du sommeil, le champ informatif antimatière péricorporel devient homogène. Il n’y a plus de différence entre la tête et le corps. (Figure 3)
Différences entre sommeil ordinaire et sommeil profond.
Figure 5
Alors que dans le sommeil ordinaire, c’est le corps qui impose son schéma, dans le sommeil profond, c’est la tête qui impose son modèle à tout le corps. La couche périphérique causale ou anandamaya devient centrale. (Figure 5)
Il y a permutation entre les deux couches antimatières correspondant à l’hyperespace non local ou énergie gravitationnelle et au temps non local ou énergie nucléaire forte. (Revoir Figures 1 et 2)
Donc le sommeil profond nous met en communication avec le temps non local. (Figure 1)
L’éveil est dû à l’inversion entre la tête et le corps caractéristique de la latéralité et de la verticalité. Le sommeil est la perte de la latéralité et de verticalité
Variations du spectrogramme matière
Figure 6. Tableau synoptique qui montre les permutations des zones de résonance matière et antimatière concomitantes.
.On se rend compte que le tableau de sommeil profond est équivalent vibratoire de permutation entre l’adrénaline et la dopamine (3e colonne).
La figure 7 montre la disposition physiologique du plan équatorial énergétique.
Le parasympathique a pris la place du sympathique, d’où la relaxation profonde reposante. L’énergie potentielle a pris la place de l’énergie cinétique. C’est aussi le spectrogramme de choc vagal, de l’anesthésie générale, de léthargie, narcolepsie, syncope et coma.
Figure 7 : Zones de résonance physiologique autour du corps avec l’axe orthosympathique noradrénaline-sérotonine et l’axe parasympathique dopamine-acétylcholine. Correspondances avec les interactions physiques
Aspect vertical du spectrogramme biosémantique vasculaire
La première colonne illustre l’inversion physiologique des dynamismes matière entre la tête et le corps. La deuxième colonne montre les perturbation de l’hypocalcémie et tétanie. La troisième colonne montre les perturbations dans le sommeil profond, le choc vagal, la léthargie, le coma.
Figure 8
Inversion des zones de résonance matière entre la tête et le corps. Dans 1ère colonne, on voit que la zone de résonance 75(noradrénaline ou Nucléaire fort) est à droite au niveau du crâne alors qu’elle est è gauche le long du corps. C’est la disposition physiologique.
Dans le sommeil le schéma vibratoire de la tête est identique à celui du corps. Il y a inversion de l’inversion physiologique.
2e colonne ; Dans l’hypocalcémie ou la réaction allergique le schéma vibratoire de la tête et celui du corps sont t inversé. La zone de résonance de la noradrénaline à pris la place de la sérotonine. On note une permutation des zones de résonance de la dopamine et de l’acétylcholine.
La 3e colonne typique du sommeil profond ou du choc vasovagal montre une permutation de
l’orthosympathique et du parasympathique.
La permutation des zones de résonance entraîne la perte de conscience.
Le sympathique vibre aux hautes fréquences. Le parasympathique vibre aux basses fréquences. Ceci explique les basses fréquences des ondes delta du sommeil profond.
Perspectives
La perte de conscience quand la dopamine parasympathique prend la place de la noradrénaline orthosympathique nous ramène aux recherches sur la conscience. Le rôle des microtubules a été prôné par Penrose et Hamérof (2)
Cette théorie a entraîné tout un mouvement de recherches qui dure encore et a provoqué de nombreux débats et conférences accessibles à www.consciousness.arizona.edu
La découverte de l’équivalence vibratoire entre microtubules, dopamine et gravitationnel donne des arguments en faveur de cette théorie. (2 et 3)
La figure 8 explicite cette problématique.
Figure 9. Équivalences vibratoires entre microtubules, mésoderme extra-embryonnaire et gravitationnel. Une action à un niveau de complexité résonne à tous les autres niveaux, C’est la résonance fractale.
Une autre figure introduite l’équivalence avec la dopamine.
Figure 10 Équivalences vibratoires entre microtubules, dopamine et gravitationnel
Ces perturbations des axes orthosympathique (énergie cinétique) et parasympathique( énergie potentielle) permet de comprendre les symptômes de l’hypocalcémie.
Figure 11.Rôle du calcium qui forme le couple parasympathique avec le sodium ..
Ce phénomène d’oscillateur harmonique permet de comprendre les problémes liés au
défaut ou à l’excès de calcium et leurs retentissement sur l’état de conscience.
Hypocalcémie
Le calcium est équivalent vibratoire de microtubule, mésoderme extraembryonnaire, dopamine et gravitationnel Il appartient à l’axe parasympathique. S’il est en déficit, l’axe orthosympathique potassium-magnésium prédomine et entraîne des spasmes musculaires, des crampes, de la tétanie.
Si le calcium est en excès, c’est ls confusion mentale, la léthargie et narcolepsie, la syncope.
Hypocalcémie présente le même spectrogramme que l’allergie ou la tétanie avec permutation de l’adrénaline et la sérotonine et permutation du calcium avec le sodium. (Colonne 2 dans la figure6)
Hypercalcémie se traduit par un spectrogramme identique à celui du choc vagal, de la syncope et de la léthargie. L’axe parasympathique a remplacé l’axe orthosympathique ou énergie cinétique. Colonne 3 dans la figure 6.
L’équivalence du calcium et du gravitationnel permet de comprendre la perte de la verticalité (station debout) quand l’axe parasympathique a permuté avec l’axe orthosympathique.
L’axe parasympathique gère l’espace. L’axe orthosympathique gère le temps.
Conclusions
Ces données expérimentales peuvent contribuer à la compréhension du phénomène de la conscience qui a intrigué les anesthésiologistes. (2)
Les équivalences vibratoires entre l’axe orthosympathique et l’énergie cinétique et entre l’axe parasympathique et l’énergie potentielle donnent un éclairage sur la physiologie du sommeil.
L’inversion de l’inversion physiologique tête/corps du champ péricorporel se traduit par le changement de fréquences des ondes neuronales électromagnétiques, Les ondes calciques gravitationnelles des gliales ne sont pas encore technologiquement détectables en clinique. Le mouvement respiratoire primaire des ostéopathes est équivalent vibratoire des ondes calciques gliales.
Le retentissement de l’hypercalcémie et de l’hypocalcémie sur l’état de conscience traduit l’importance du calcium et ses équivalents vibratoires que sont les microtubules, la dopamine et le gravitationnel dans la physiologie de la conscience.
La perte du gradient gravitationnel vertical explique la chute du tonus musculaire du choc vasovagal, de la syncope, de la léthargie, associé à la perte de conscience.
La transition d’un état à l’autre reste mal élucidée. Ce passage du sympathique au parasympathique est comme le passage du centrifuge local au centripète non local, comme un saut quantique entre deux orbites énergétiques. C’est une brisure de symétrie entre la fonction cathode orthosympathique et la fonction anode parasympathique.
La résonance biosémantique vasculaire révèle que la conscience est coïncidence de l’espace local et de l’espace non local gravitationnel. La vie est coïncidence du temps local et du temps non local. C’est la coïncidence des opposés centrifuges et centripètes.
Références
1/ Ratte Jean. Couple anode-cathode. Genèse du champ péricorporel.
2/ HAMEROFF, S.R. et PENROSE, R. « Orchestrated reduction of quantum coherence in brain microtubules: a model for consciousness? » in Toward a Science of Consciousness- The Fir st Tucson Discussions and Debates. Cambridge, MIT Press, 1996. p. 507-540
3/ RATTE, Jean. « Neuroectodermic Electromagnetic Consciousness and Mesodermic Gravitational Consciousness » in Consciousness Research Abstracts/Physics and Mathematic, numéro spécial du Journal of Consciousness Studies constituant les Actes du congrès « Toward a Science of Consciousness-Tucson II » (8 au 13 avril 1996). P. 132, article 30.
4/ Ratte, Jean. Conscience mésodermique gravitationnelle
Article paru dans Les Voies de la Connaissance (Vichy), no 29, décembre 1998.